Pourquoi Jura Vaud Sud ?

Pour que Sur Grati, Mollendruz, Les Grands Plats et Bel Coster soient sans éoliennes.

jeudi 30 avril 2015

Présentation powerpoint

Voici deux liens pour obtenir la présentation faite à Ballaigues, au Brassus et à Mont-la-Ville. Il y a peut-être par-ci par-là une diapositive qui change !
version video mp4
version powerpoint

Page Facebook des opposants de Bois d'Amont

Pour ceux qui maîtrisent Facebook, voici un lien pour aller sur la page Facebook des opposants de Bois d'Amont.

mardi 28 avril 2015

deux séquences radio (La Première)

Voici deux passages radios qui parlent d'éoliennes.
Le premier parle d'épuisement des autorités communales (entre autres).
Le second est un interview de Mme de Quattro, où elle regrette que les opposants fassent peur à la population en disant que les éoliennes provoquent des cancers...
Nous tenons à rassurer tout le monde: les éoliennes peuvent provoquer maux de tête, nausées, insomnies, dépressions, perte de sommeil, acouphènes, vertiges, irritabilité et bien d'autres choses encore, mais pas de cancer!

Bonne écoute!

mercredi 22 avril 2015

Communiqué suite aux conseils des communes du 21.4.2015

 Mardi soir 21 avril 2015, les conseils communaux ou généraux de Vallorbe, Vaulion et Premier ont accepté les préavis municipaux relatifs à l’établissement du parc éolien “Sur Grati”. Cette décision était attendue, mais le résultat relativement serré à Vallorbe (19 non contre 25 oui) représente un encouragement dans notre opposition aux parcs éoliens de la région, soit 34 engins de 210 m de haut sur les crêtes du Jura à Sur Grati, aux Grands Plats de la Vallée de Joux, au Bel Coster et au Mollendruz. Les 219 oppositions d’associations et de personnes individuelles, les 1'600 signatures de notre pétition, les débats et argumentaires irréfutables délivrés tant dans la population qu’aux conseillers communaux étaient autant d’occasions pour les autorités communales de se sortir la tête haute et sans dommage du piège que représentent les parcs éoliens. Elles auront à assumer les suites certainement douloureuses de la longue bataille politique et juridique qui s’annonce pour les années à venir.

lundi 20 avril 2015

reportage France3 Bois d'Amont

Sur France3 régions, on a pu voir le reportage que vous trouverez en cliquant sur le lien suivant: 

Autrement, c'est ci-dessous:



samedi 18 avril 2015

Article Le Temps 17.4.2015 Impact des éoliennes sur la santé

Si vous avez le temps, allez voir les liens de cet article du Temps. Très enrichissant!

OPINIONS Vendredi 17 avril 2015

Les autorités vaudoises et suisses négligent l’impact des éoliennes sur la santé

Christine Lavanchy et Félix Gueissaz
La science commence tout juste à découvrir les effets des infrasons sur le corps humain. Au lieu de faire preuve d’un zèle éolien excessif, les autorités devraient donner un coup de frein à leurs ambitions en vertu du principe de précaution. Par Christine Lavanchy et le Dr Félix Gueissaz
Le 2 mars 2015, la Cour administrative du Tribunal cantonal vaudois a admis le recours des opposants au projet éolien conduit par Romande Energie et l’Etat de Vaud sur le site de Sainte-Croix. Elle renvoie les promoteurs de ce projet à de nouvelles études concernant la faune avicole et les nuisances sonores: les pièces fournies étaient si lacunaires qu’elles n’ont pas permis à la cour de procéder à une réelle pesée des intérêts dans ce projet.
 
Un tel retournement de situation devrait nous inciter à réfléchir sur les réalités de l’énergie éolienne en Suisse et dans le monde. 
A ce propos, notre pays prend souvent exemple sur l’Allemagne et son engagement dans l’éolien, très bien. Alors les autorités vaudoises feraient bien d’observer attentivement la législation de ce pays avant de se lancer dans la réalisation des 170 machines de 200 mètres de haut prévues d’ici à 2035.
Le Land de Bavière, par exemple, a instauré en 2014 «la règle 10H», qui prohibe l’implantation d’éoliennes industrielles à une distance inférieure à dix fois la hauteur totale de la machine aux premières résidences (si la hauteur en bout de pale est de 200 mètres, la distance de la machine aux premières habitations doit être d’au minimum deux kilomètres).
Et il ne s’agit pas d’une première mondiale. En 2011 déjà, l’Etat de Victoria, en Australie, imposait une distance minimale de deux kilomètresentre les machines et les premières habitations.
Ces mesures sont bien évidemment motivées par un souci de santé publique, en premier lieu pour protéger la population des nuisances sonores émises par les éoliennes.
Mais ce n’est pas tout. Au Canada, en novembre 2014, deux chercheurs de l’Ecole de médecine de la Western University of London ont publié un inventaire des critères de diagnostics permettant aux praticiens d’appréhender et d’identifier les symptômes cliniques observables chez les personnes qui habitent près de ces machines industrielles.
En Suisse, autorités et promoteurs nous assurent qu’ils respectent les normes de protection en vigueur. Ces normes ont-elles vraiment été étudiées?
Pour bien comprendre le problème, il faut savoir que le spectre sonore émis par une éolienne appartient en partie au monde de l’infrason, comme cela a été démontré très clairement par des chercheurs en 2005lors d’un congrès acoustique à Tahiti (voir la page 15 du rapport, https://www.wind-watch.org/documents/ ).
Ensuite, il est également nécessaire d’avoir à l’esprit que la législation suisse est lacunaire en ce domaine et que l’ordonnance fédérale sur la protection contre le bruit (OPB) ne protège pas contre les infrasons, de l’aveu même de nos autorités cantonales concédé à l’occasion du festival Balelec en 2011. Une année plus tard, les nuisances dues aux basses ­fréquences étaient prises en compte et des ajustements furent apportés.
La science décrypte peu à peu de quelle manière ces infrasons affectent la santé, dans l’oreille interne et, plus grave et à long terme, en induisant des maladies dites vibro-acoustiques, qui n’ont rien à voir avec un quelconque effet «nocebo».
Ces émissions infrasoniques ont longtemps été niées par la filière éolienne. Pourtant en Australie, et tout récemment, celle-ci admet, à demi-mot il est vrai, qu’il existe un lien entre la présence d’infrasons et le mal-être exprimé par les riverains, cela dans un communiqué de presse publié en janvier 2015 suite à une étude acoustique commandée par la compagnie elle-même, Pacific Hydro.
Ainsi, cette société signale un rapport entre l’existence des infrasons et le niveau de gêne plus élevé rapporté par les résidents au cours de l’étude.
Dans chacun de leurs témoignages, les riverains disent leurs maux avec les mêmes mots que ceux utilisés par la Suva pour décrire les effets imputables aux infrasons.
Les preuves semblent suffisantes pour inviter l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), les autorités politiques suisses et vaudoises à la plus grande prudence, par l’application du principe de précaution.

Cet article comporte un grand nombre de références et de liens utiles à consulter sur la version en ligne: www.letemps.ch/opinions

lundi 13 avril 2015

Vidéo acheminement éolienne

Voici une vidéo qui montre quelques étapes de la construction d'une éolienne en Allemagne. Les passages où on voit les pales passer sont impressionnants! 


Merci pour le lien (la personne se reconnaîtra)!

dimanche 12 avril 2015

Article 24 Heures Eoljoux-Bois d'Amont

Article paru aujourd'hui dans 24 Heures concernant le projet Eoljoux et sa particularité d'être très roche de la frontière!

lien pour le lire sur le site de 24 Heures: ici!

A Bois d’Amont, le projet des éoliennes vaudoises divise

EnergieLes parcs éoliens près des frontières sont dotés d’un règlement qui n’est pas encore en vigueur. Reportage 

Vue du village de Bois d’Amont, en France, avec au fond, à 700?mètres de distance, les Grands-Plats (commune du Brassus) qui devraient accueillir les éoliennes.
Vue du village de Bois d’Amont, en France, avec au fond, à 700 mètres de distance,
les Grands-Plats (commune du Brassus) qui devraient accueillir les éoliennes. Image: Olivier Allenspach
Le problème est nouveau et déjà international. A l’heure où les projets éoliens vaudois progressent, les positions se polarisent en France. C’est que les crêtes proches de la frontière sont désignées pour abriter trois des quatorze parcs retenus dans la planification cantonale vaudoise: au Brassus, à Sainte-Croix, et à Bel Coster. En tout une vingtaine d’éoliennes. C’est que la région, venteuse et peu habitée, se prête particulièrement bien aux hélices. 
A Bois d’Amont, en France voisine, on parle beaucoup ces temps-ci du village voisin, la commune suisse du Brassus, qui vient de mettre à l’enquête un parc de sept éoliennes de 206 mètres dans l’alpage des Grands-Plats. Des mâts dont le plus proche serait à 700 mètres du village français. Pile dans l’axe de vue sur la Dent-de-Vaulion et la vallée de Joux. 
Opposition légale
Malgré l’impact sur le paysage et le bruit de ces installations, rien ne permet à une Commune française de s’y opposer. Quoique. Le sujet divise Bois d’Amont, où les opposants de la Vallée ont fait circuler une pétition déjà signée d’une centaine de paraphes. Une habitante, conseillère municipale, a fait opposition au Brassus. «Même si elle n’a aucune valeur légale, elle sera traitée comme telle et prise en considération», assure Alain Bourqui, président d’Eoljoux, le promoteur du parc éolien. 
La semaine dernière, à la demande des élus, il a été à la rencontre d’une cinquantaine d’habitants lors d’une réunion d’information. «C’était bon enfant et des préoccupations légitimes ont été exprimées, dit-il. Ils ont bien compris qu’il y avait un problème de législations entre les Etats et que nous n’y pouvions rien.»
Diplomatie complexe
Certains Bois d’Amoniers cogitent en silence: avec les mouvements séculaires de la frontière, beaucoup ont hérité de terrains proches des éoliennes et craignent pour leur valeur immobilière. «On ne sait pas que penser, résume Gilles Moret Es Jean, le pharmacien. On nous dit que ce seront les plus grandes d’Europe. Cet alpage c’est comme si c’était chez nous, on s’y promène le dimanche. On n’est pas contre, mais est-ce que c’est justifié?» Le cuisinier Patrick Brocart relativise. «Dans le Midi, les éoliennes font un petit bruit de fond. Ce n’est rien par rapport aux 3000 voitures de frontaliers qui passent chaque jour sur cette route. Au moins, ce serait une pollution positive.»
C’est dans la Vallée et le canton de Vaud que sont employés la majorité des habitants. Bois d’Amont compte 3% de chômeurs, contre quelque 10% en moyenne en France. Officiellement, on se montre mesuré. D’une part parce que l’autorité française de compétence n’est pas désignée avec précision, d’autre part parce que la diplomatie transfrontalière est toujours complexe. La préfecture du Jura, qui serait théoriquement en charge d’une mise à l’enquête en France, indique que «les services de l’Etat n’ont pas été saisis».
«Nous ne sommes pas des anti-éoliens, prévient d’emblée le maire de Bois d’Amont. Mais on nous a informés par courtoisie, pas par obligation.» La Mairie n’a pas encore pris position et tient à conserver des relations «cordiales» avec la commune voisine du Brassus. Le projet nous a été présenté quand tout n’était pas encore ficelé. On ne nous a pas vraiment demandé notre avis», enchaîne la première adjointe, Evelyne Gay, dans les bureaux qui donnent sur la Vallée. «La Suisse n’a pas d’obligation à l’enquête publique.» En cas de forte fronde des citoyens français, elle assure que les députés n’hésiteront pas à faire monter le dossier au niveau ministériel, à Paris.
L’impossible connexion
«Difficile aussi de défendre ces éoliennes envers nos citoyens quand on a seulement les inconvénients et pas le bénéfice d’une énergie renouvelable», ajoute l’élue. Car là où le dossier se complique, c’est que le raccordement du village français de 1700 habitants s’avère difficile. «Techniquement, ce serait possible, assure Alain Bourqui. Une fouille de 2  km n’est pas trop coûteuse. Le problème est décisionnel.» A savoir un investissement de la part du Conseil général du Jura ou d’industriels, qui devraient dès lors acheter de l’électricité éolienne suisse. «Le budget ne permet pas non plus d’ajouter des éoliennes de notre côté, regrette l’adjointe Evelyne Gay. Et une étude faite sur les vents montrait que la zone n’était pas suffisamment porteuse.» Ce que contrediraient les analyses suisses. «Trop tard» dans tous les cas pour modifier radicalement le projet selon Eoljoux, qui accepterait à la rigueur de déplacer une éolienne.
«Chaque cas est différent»
Les positions françaises pourraient toutefois gagner en poids avec le vote du Sénat, fin février, qui a porté de 500 à 1000 mètres la distance minimum d’une éolienne à une habitation. Or il n’y a que 700 mètres à vol d’oiseau entre les éoliennes et le bout de ce village de 1700 habitants, étiré le long de la route de la Vallée. Si cette loi rentre en vigueur, reste à déterminer sa valeur légale sur la Suisse.
Reste que, des deux côtés de la frontière, personne ne souhaite voir apparaître un cadre légal supplémentaire. «Au-delà des aspects formels, il faut surtout mener ces processus de concertations avec les populations voisines, mieux travailler entre Etats et entre Cantons», souligne François Schaller, président du Comité de planification des éoliennes du canton. «Chaque cas est différent. A l’avenir, il faudra peut-être prévoir des mesures de compensation hors du périmètre strict du parc. Et si l’on veut favoriser les réalisations sur le terrain, il faudra construire des projets avec des démarches participatives, dans lesquelles des éléments sont mis en jeu.»
(24 heures)

mardi 7 avril 2015

Le parc éolien de Bière lève le pied!

Article paru dans 24 heures (6.4.2015)

C'est un premier pas. Espérons qu'il y en aura d'autres!

L’instigateur du parc éolien met un frein à son projet

BièreL’implantation de sept éoliennes ne se fera pas avant des années. Le revers essuyé à Sainte-Croix a refroidi la SEFA, qui préfère jouer la prudence.

Christian Jan, directeur de la SEFA, estime qu’il n’est pour le moment pas opportun de lancer les études d’impact du futur parc éolien, devisé à 45 millions de francs.
Christian Jan, directeur de la SEFA, estime qu’il n’est pour le moment pas opportun
de lancer les études d’impact du futur parc éolien, devisé à 45 millions de francs. 
Assis dans son bureau, Christian Jan, directeur de la Société électrique des forces de l’Aubonne (SEFA), n’y va pas par quatre chemins: «Nous attendons que des éoliennes tournent dans le canton avant de mener des études approfondies sur notre futur parc de Bière.» En clair, le projet d’implantation de sept éoliennes, censées alimenter l’équivalent de 7000 ménages en électricité, ne devrait pas se réaliser avant plusieurs années.
Dans sa planification initiale, la société électrique ambitionnait pourtant de le soumettre à l’enquête au milieu de l’année prochaine. Le tout après avoir mené des études d’impact pointues sur l’intégration paysagère, l’ombre des pales, la faune ou encore le bruit.
Ne pas investir dans le vide
Mais la récente décision du Tribunal cantonal, qui a partiellement admis les recours des opposants du côté de Sainte-Croix, a aujourd’hui changé la donne. Pour mémoire, la Cour a demandé au Canton des études plus poussées. Ces dernières portent notamment sur les effets du bruit, qui doivent désormais se mesurer éolienne par éolienne, et sur les nuisances sonores, qui doivent être réduites de 4 décibels au lieu de 2.
Ne souhaitant pas se heurter au même problème, la SEFA a décidé de jouer la carte de la prudence avant d’investir dans des études coûteuses. «Une société comme la nôtre ne peut pas se permettre de dépenser 500 000 francs d’études dans le vide, argumente encore le directeur. Nous attendons désormais que des projets cantonaux plus avancés aboutissent avant de lancer nos propres études d’impact.»
La SEFA pourrait pourtant se baser sur les considérants du tribunal pour se lancer dans l’aventure. Mais cette option n’a pas été retenue. «Dans ce genre de projets, qui courent sur de nombreuses années, les niveaux d’exigence évoluent constamment. En bons entrepreneurs, nous devons aussi savoir gérer les risques», rétorque Christian Jan.
Meilleurs soutiens attendus
Pour expliquer sa réserve, le producteur d’électricité n’invoque pas uniquement des arguments financiers. Aujourd’hui, il veut aussi s’assurer de meilleurs soutiens politiques et citoyens dans le domaine de l’énergie éolienne. «Actuellement, les politiciens font peut-être preuve d’une prudence légitime vis-à-vis de parcs éoliens contestés», poursuit le responsable. Pour rappel, le projet birolan a déjà suscité un vent de contestations, notamment du côté de Berolle , village qui subira l’impact visuel des futures installations. En novembre dernier, le groupe anti-éolien Pieduvent a même été constitué pour défendre l’intérêt des citoyens (lire ci-dessous). Christian Jan l’assure, la société ne restera pas les bras croisés durant ce temps mort. «Nous le mettrons à profit pour dialoguer et informer les autorités et les habitants concernés par le projet. Nous continuerons aussi les mesures des vents que nous menons depuis plus de deux ans. Notre motivation reste intacte.»
Jusqu’à présent, ces mesures se sont d’ailleurs montrées particulièrement concluantes. «Nous pourrions produire quelque 28 millions de kWh par année. En l’additionnant à l’énergie hydraulique, nous pourrions ainsi produire près de 80% de l’énergie consommée par la région de manière renouvelable. Nous sommes convaincus que ce projet est essentiel pour toute la région. Mais, dans le contexte actuel, il est urgent d’attendre», conclut le directeur. (24 heures)
(Créé: 06.04.2015, 20h30)

«Nous continuons à affûter nos armes»

Patrick Badan, président de l’association citoyenne Pieduvent, est aujourd’hui content de voir que la Société électrique des forces de l’Aubonne (SEFA) marque un temps mort dans ce projet vivement contesté. 

Pour autant, il assure que son groupe anti-éolien ne baissera pas les bras si facilement. «Nous continuons à affûter nos armes en coulisses et nous n’allons rien lâcher, assure-t-il. Au contraire, cela nous donne encore davantage de force. A mon avis, le parc éolien de Bière doit être plus que limite, sinon la SEFA aurait déjà lancé ses études d’impact.» 

Comptant désormais une septantaine de membres venant de Ballens, de Berolle et de Bière, l’association poursuit sa croisade pour «accomplir son devoir d’information». Pour ce faire, elle dispose de plusieurs outils. «Nous avons ouvert un site Internet et nous allons également produire un petit film pour que les habitants puissent se rendre compte de l’impact réel des futures éoliennes», poursuit Patrick Badan. 

Aux yeux du président, il importe surtout que les citoyens – qu’ils approuvent ou non le projet – puissent se faire une opinion en toute connaissance de cause. 

Pour mémoire, ce groupe a été créé il y a six mois à Berolle pour s’opposer à l’implantation des sept éoliennes prévues dans la commune limitrophe de Bière. C’est dans ce village que le vent de la contestation s’est levé en premier, car de nombreux habitants craignent de perdre leur vue imprenable sur les Alpes.

dimanche 5 avril 2015

jeudi 2 avril 2015

Questions qui fâchent

Sur le site internet de Paysage-libre (http://paysage-libre-vd.ch), vous pouvez désormais accéder à une rubrique "Questions qui fâchent". Dans cette rubrique sont traitées quelques questions:

Quels impacts sur la santé? lien santé
Quelles atteintes à l'avifaune? lien avifaune
Les maisons perdent-elles de leur valeur? lien immobilier
Pourquoi les habitants des villages se déchirent-ils? lien tensions villages
La productivité des parcs est-elle surévaluée? lien productivité
Sans subventions, plus de rentabilité? lien subventions
Quels risques financiers pour les collectivités? lien risques
Peut-on croire dans les promesses faites? lien promesses

Dans chacune de ces rubriques, vous trouverez des informations ou des liens permettant de creuser ces questions.
Bonne lecture!